La 21ème Conférence des parties sur le climat (Cop21) qui s’est tenu à Paris du 29 novembre au 11 décembre 2015 a tenu toutes ses promesses. En effet, cette conférence organisée par l’ONU se veut être un grand rendez-vous de tous les pays en vue de se pencher sur l’avenir de la terre. Pour cette édition, la ville de Paris a, à elle seule, accueillit une délégation de 147 chefs d’Etats venus de partout dans le monde. Tous les grands étaient tous présents.
Selon les experts, ce RDV s’annonçait déjà périlleux vu l’enjeu des négociations relatif au climat. Il fallait d’un côté pour les nations industrialisées trouver un accord visant à réduire considérablement les émissions de gaz à effets de serre à un seuil maxi de deux degré Celsius. Une clause qui n’était pas gagnée d’avance tellement les arguments des uns et des autres ne convergeaient pas dans le même sens. Pendant pratiquement deux semaines aucun accord n’était prévisible tant les grandes puissances refusaient de part et d’autre d’accepter d’être flexible en reconnaissant d’abord qu’elles sont à la base du réchauffement climatique et ensuite qu’elles prennent la décision de subventionner les pays en voies de développement à adopter une politique visant promouvoir les énergies renouvelables au détriment des énergies fossiles. D’où la mise sous pied du fond vert. Enfin, trouver un accord conduisant toutes les parties de cette conférence (surtout les grands pollueurs) visant à polluer moins la terre à un degré raisonnable. Tout es bien, qui finit bien dit l’adage.
Après plusieurs tractations entre elles, les parties prenantes de la 21ème conférence de Paris (COP21) sont convenues à trouver un accord relatif à la réduction des émissions des gaz à effet de serre.
1.5% celcius, c’est la barre maximale qui a été arrêtée. Pour plus de détails sur ledit accord cliquez sur le lien suivant http://unfccc.int/resource/docs/2015/cop21/fre/l09f.pdf
Landry Zahoré